C'est pas le même que Pappy Boyington
O.M
la malhonnêteté intellectuelle ne sera jamais crédible quel que soit le moyen mis en œuvre pour faire croire aux autres le contraire
Manuels d'atelier divers
Oui, mais attention, uniquement les versions à ailes elliptiques, verrière en "bulle" et non "goutte d'eau", petite dérive et hélice tripale ; ), n'est-ce pas, Her Generalleutnant Adolf Galland, à qui Hermann Göring, demanda durant la Bataille d'Angleterre ce qu'il pouvait faire pour les pilotes de la Luftwaffe, et à qui, malgré son grade, il répondit, « Herr Reichsmarschall, geben Sie mir eine Staffel Spit FIIIIIIIIIIIIIIRRRRRR RRRRRRRRREEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!! »
Pourtant, après essai d'un modèle posé en Allemagne, le responsable de la chasse allemande reconnaitra finalement une vitesse supérieure du Messerschmitt 109, de 20 à 30 km/h, face au Spitfire (on l'imagine dans un certain domaine de vol)
Moto(s) : Kawasaki 250 KLX - 1981/Honda 250 CRF-X - 2005
Ton blaze à avoir avec çà Spipit????
Même pas, mais un peu ; )
En fait Vince étant tout le temps pris partout, j'étais parti sur Spirou (je ne sais pas pourquoi, j'aime bien le personnage, mais sans être un fan) mais il était également régulièrement pris aussi, alors j'ai pensé à son compagnon, l'écureuil, que lui je trouve trop cool, en pensant avec erreur (tu vois Elricos, tu n'es plus seul ; ) qu'il s'appelait Spit, alors qu'en fait c'est SPIP ! Mais du coup, comme j'aime bien les vieux zinc, je me suis dit OK pour le Spit. Voilà, cet intermède n'a rien à faire sur ce post, mais c'était le moment "détente" ; )
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C'est pas le même que Pappy Boyington
O.M
si exactement Chance Vought F4U Corsair pour son état civil et non un P41 comme dit ci dessus qui à ma connaissance n'existe pas
cela dit Greg Boyington a volé aussi sur le P40 Tomahawk
Je connais le P51D Mustang, le Curtiss P40 Kittyhawk ou le Wharkhawk mais pas le P41
Voici le Curtiss P40 et dessous le F4U de Greg "Pappy" Boyington
Un bon atterrissage, c'est quand on peut sortir tout seul de l'avion.
Un excellent atterrissage, c'est quand l'avion peut servir à nouveau
Si, si c'étaient bien des Chance Vought F4U Corsair qu'utilisait Papy et son escadrille VMF-214 des " Black Sheep " (littéralement "les brebis galeuses).
Quant au Curtiss P-40 (et non pas 41), c'était le zinc des "Tigres volants", de la 1st American Volunteer Group, de Claire Lee Chennault, basé en Chine et en Birmanie.
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voui mais ça c'est la gueule d'ange du film avec Robert Conrad...le vrai Pappy n'était pas aussi playboy!!
Un bon atterrissage, c'est quand on peut sortir tout seul de l'avion.
Un excellent atterrissage, c'est quand l'avion peut servir à nouveau
vidéo sympa
www.dailymotion.com/video/x2fi7d7
Un bon atterrissage, c'est quand on peut sortir tout seul de l'avion.
Un excellent atterrissage, c'est quand l'avion peut servir à nouveau
Bien-entendu,
mais j'imagine que ceux qui, sur ce forum, se posent des questions sur cet avion, parlent du Boyington des "Têtes brûlées", sinon, ils sauraient tout le reste aussi sur les avions ; )
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Papy a volé sur p 40 Avec les TIgres volants avant de voler sur corsair dans les marines US le corsair était un super zing pour son époque
Moto(s) : 300 béta
J'ai voulu voir qui suivait. Je me suis trompé entre curtiss p40 et 41.
Mais regardez bien le 1 er épisode des têtes brulées, papy boyington s'échappe d'un hopital et vole un/ sur curtiss p40.
C'est pour cela que j'ai mis des ... dans ma phrase avant le ! pour que quelqu'un la complète.
Allez hop, tout le monde re regarde l'épisode n°1 sans discuter!
Moto(s) : ktm 73, 75, 77, 78 gs, xt400, tt600, Bmw r60/5
Le vrai Zéro en état de voler et pas une réplique sur base T6 comme dans la série télé
et sont rival pour les bastons avec Pépé Boyington
Moto(s) : DRZ 400s
Pour infos, ce bon vieux Charles "Lucky Lindy" Lindbergh, vainqueur de l'Atlantique-Nord, en mai 1927, sur son Ryan "Spirit of St Louis", après s'être vu refuser par la Maison Blanche, sa réincorporation dans l'US Army Air Corps (ancêtre de l'USAF),du fait de ses "amitiés" nazies, se voit finalement proposer un poste de consultant auprès de constructeurs aéronautiques et participe ainsi à la mise au point des bombardiers Consolidated B-24 Liberator avant de rejoindre, en 1943, la société Chance Vought Corporation, qu'il convainc, l'année suivante, de l'envoyer sur le théâtre des opérations du Pacifique, comme représentant technique, afin d'étudier les performances des avions en conditions de combat. Il enseigne alors aux pilotes de Corsair des Marines à décoller avec un double chargement de bombes de celui pour lequel ce chasseur-bombardier est prévu.
Le 21 mai 1944, Lindbergh, (au centre) effectue sa première mission d'attaque au sol avec l'escadrille VMF-222, contre la garnison japonaise de Rabaul. Puis il participera aussi à des missions avec la VMF-216, et durant 6 mois, sur place, il assurera en tant que personnel civil, une cinquantaine de missions aériennes, avant de s'occuper ultérieurement des tests de consommation du magnifique Lockheed "Lighting" P-38, mais tout ceci est une autre histoire...
A lire dans l'excellent ouvrage, "Lindbergh, l'oiseau volage", de Michel Bénichou
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c'est un succeseur de l' hydravion plus haut , avec le meme coup de crayon..
Exact ! Dû au génialissime et visionnaire ingénieur Reginald Mitchell,
engagé par la firme Supermarine, en 1917, et où il progressa très rapidement, du poste de chef de projet, dès 1919, à celui d'ingénieur en chef, l'année suivante, puis enfin de directeur technique, en 1927, genre de progression ! Son prestige était alors tel, que lorsque Vickers racheta Supermarine en 1928, l'acquéreur posa comme condition qu'il soit conservé comme chef de projet pour les cinq années à venir.
Entre 1920 et 1936, Mitchell conçut un total de 24 appareils, principalement d''hydravions, avec 3 victoires à la Coupe Schneider, en 1927, avec le S.5 (voir plus haut), en 1929 avec le S.6 et en 1931, avec le S.6B, qui marqua véritablement l'apogée de ses créations, comme, « la perfection dans le domaine des hydravions de vitesse », en battant le record mondial de vitesse 17 jours plus tard. Si Mitchell fut décoré de l'Ordre de l'Empire britannique en 1932, en reconnaissance de ses contributions au vol de vitesse, il ne put avoir la fierté de voir en l'air son légendaire Spitfire, puisqu'il s'éteignit d'un cancer, en 1937, soit un an avant l'entrée en exploitation du "cracheur de feu"...
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